Nouvelle étape dans la démocratisation du système gouvernemental tibétain.
Pour la première fois en France, le génocide qui, sur le Toit du Monde, a déjà provoqué directement ou indirectement depuis 1959 la mort de 1.200.000 Tibétains, a été évoqué publiquement au cours d’un débat parlementaire. Ainsi l’ont voulu les sénateurs Claude Huriet et Louis de Broissia, présidents du Groupe d’information sur le Tibet à la Haute Assemblée.
Récit.
Au cours du Troisième Forum de Travail sur le Tibet qui s’est tenu à Pékin (du 20 au 23 juillet 1994) ont été prises des mesures visant à la destruction définitive et dans sa totalité de la civilisation qui, pendant des millénaires, a fleuri sur le Plateau tibétain. Un rapport sur ce Forum a été établi et publié par le Département de l’Information et des Relations Internationales de l’Administration centrale du Tibet à Dharamsala.
Les membres du NDPT (National Democratic Party of Tibet) se sont réunis du 7 au 9 mai 2000 à Dharamsala pour leur assemblée générale afin de définir leurs actions pour les quatre ans à venir et élire leur nouveau comité central, sis à Dharamsala en Inde.
David Lutt, un Français de trente ans, est parti de France le 1er janvier 1999 pour un tour de l’Asie en bicyclette. Son but premier : un peu de tourisme !
Passant par l’Egypte, la Jordanie, la Syrie, la Turquie, l’Iran, le Pakistan et la Chine, il arriva au Tibet parcourant 13 000 Km et franchissant plusieurs cols atteignant 5 000 m d’altitude.
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