Bien que des moyens de prédire l’avenir aient existé au Tibet avant le début de l’ère bouddhiste, on considère généralement qu’ils font partie intégrante d’un « système bouddhiste » auquel on se réfère à l’occasion par facilité. On va même jusqu’à oublier leurs origines et les employer en tant que concepts bouddhistes reposant sur des principes bouddhistes tels que celui du karma. Toutefois, il faut noter que si l’on ne trouve aucune référence à la divination dans les sutras, elles sont nombreuses dans les tantras.
En explorant l’avenir du consultant, le devin ou le médium peut faire le bilan de la situation dans laquelle celui-ci se trouve et lui recommander une ligne de conduite à tenir. Sous la forme de rituels, une action réparatrice fait ensuite appel à des forces positives et peut modifier le sort du consultant.
Le Tibet traditionnel demeure le plus souvent inconnu des Occidentaux. Monsieur Dakpa a connu son pays avant l’invasion de 1959, l’époque où le Tibet jouissait pleinement de la richesse de sa civilisation originale encore intacte dans une atmosphère libre d’un point de vue politique, social et culturel. Partout au Tibet, le nouvel an ou Losar est considéré comme la fête la plus importante de l’année.
La médecine tibétaine est un système thérapeutique traditionnel pratiqué depuis plus de 2 500 ans, et toujours en vigueur aujourd’hui, malgré l’invasion et l’occupation continue du Tibet par la Chine.
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