Vous trouverez dans cette rubrique différents cas d’actions entreprises pour demander la libération de prisonniers d’opinion ou soutenir les Tibétains...
Si vous souhaitez vous-même agir, nous vous proposons plusieurs actions distinctes :
Tibet Lib vous invite à écrire des courriers aux autorités chinoises et françaises sur des cas concrets, avec modèles de lettres à l’appui, en français et en anglais. Dans ce cas, il s’agit d’envoyer un grand nombre de lettres en un court laps de temps pour un prisonnier spécifique.
Tibet Post consiste à "parrainer" (de façon symbolique et non financière) un prisonnier tibétain en s’engageant à écrire régulièrement aux autorités chinoises concernant le prisonnier parrainé. C’est donc sur la durée que s’inscrit cette action, au but légèrement différent de Tibet Lib.
Vous pouvez également demander à votre commune, Conseil Régional, ou tout autre organisme officiel, de "parrainer" de la même façon un prisonnier tibétain. Dans ce cas, c’est la commune qui s’engage à transmettre un courrier plusieurs fois par an pour demander la libération d’un prisonnier d’opinion. Plus de 300 communes parrainent ou ont parrainé des prisonniers depuis le début de cette opération en 1991, ayant permis la libération anticipée de nombreux prisonniers ou une amélioration de leurs conditions de détention.
Ces différents projets sont des façons simples, peu coûteuses et efficaces d’agir pour le Tibet !
D’autres projets, menés par différentes associations, sont également proposés dans cette rubrique, tel Tibet Europe 2009 ou des campagnes plus larges, comme en 2008 la campagne Chine JO 2008 maintenant terminée.
Enfin, vous pouvez consulter l’article "Ce que vous pouvez faire actuellement pour vous rendre utile" pour d’autres idées d’action, selon votre motivation, votre intérêt et vos domaines de compétences.
A la suite de l’annonce de la condamnation de Ronggye A’drak à 8 ans
de prison, les membres de Tibetlib ont adressé des courriers à
différentes autorités. Parmi elles figurait Madame Rama Yade,
Secrétaire d’Etat chargé des Affaires étrangères et des droits de
l’Homme.
Certains d’entre nous viennent de recevoir une réponse de son Chef de Cabinet, Olivier Serot Almeras.
La voici :
Début 2003, le professeur Samdhong Rinpoche, chef du Gouvernement tibétain en exil, en vue de faciliter l’ouverture de négociations avec la Chine, exprimait le souhait que les amis du Tibet, partout de par le monde, s’abstiennent de mener des actions pouvant passer pour agressives à l’égard de la Chine, sans pour autant renoncer à défendre le droit et la justice pour les Tibétains.
<:accueil_site:>
| <:info_contact:>
| <:plan_site:>
| [(|?{'',' '})
| <:icone_statistiques_visites:>
<:site_realise_avec_spip:> 2.1.13 + AHUNTSIC