Tibet en exil, conférence & chants traditionnels, 14 fév. 2010, Paris
samedi 23 janvier 2010 par Rédaction
Dans le cadre du cycle Terre de résistance (du 12 au 16 février)
la Cité de la Musique organise
dimanche 14 février 2010
une conférence suivie d’un concert
14 février 2010 à 15h00
- Conférence de Rachel Guidoni,
ethnologue spécialiste du Tibet.
"Zoom sur Yungchen Lhamo"
Pour se préparer à l’écoute du concert à 16h30, les Zooms proposent une découverte sensible et synthétique des œuvres et des artistes programmés.
La séance se déroulera en salle des colloques juste avant le concert. Les participants ont l’occasion de visionner des films, de comparer des interprétations et de développer leur oreille musicale grâce à des documents multimédias. Source : Cité de la Musique
14 février 2010 à 16h30
- concert de musiques et chants du Tibet
Tarif : 24 € (Cat. 1) et 20 € (Cat. 2)
Si vous ne pouvez pas assister à ce concert, ou n’avez pu obtenir de places, vous pourrez l’écouter en direct et pendant les 2 mois suivants sur citedelamusique.fr
ou
NB Le 14 février au soir, le site arteliveweb annonçait que le "live" serait disponible prochainement...
Accès :
Cité de la Musique
221 avenue Jean Jaurès 75019 Paris
- Métro : ligne 5, direction Bobigny - Pablo Picasso, sortie Porte de Pantin
- Bus : lignes 75, 151, PC2 et PC3
- Voiture : Parking en sous-sol de la Cité de la Musique
- Vélib : Station face au Café de la Musique, au Conservatoire et Porte de Pantin
Billeterie : 01 44 84 44 84
www.citedelamusique.fr
www.ticketnet.fr (avec plan de la salle et placement numéroté)
www.fnac.com
www.digitick.com
Yungchen Lhamo sera également en concert
le samedi 13 Février 2010, à 20H30
dans l’abbatiale de St Florent le Vieil (Maine-et-Loire).
Voir le programme de ce concert sur le site de St Florent le Vieil ou dans cet article de Tibet info
[1] Tenzin Gönpo : Voir l’article qui lui est consacré ou son site web
[2] Yungchen Lhamo
Son nom, qui lui fut donné par un lama, signifie "Déesse de la mélodie et du chant". Yungchen Lhamo a fui son pays, à pied, en 1989.
Depuis son premier album, Tibetan Prayer, et au fil de ses fascinants spectacles a cappella, elle s’est imposée comme la grande voix tibétaine.
Née dans un camp de travail près de Lhassa pendant l’occupation chinoise, elle a commencé à travailler dans une fabrique de tapis à l’âge de cinq ans. Le chant tibétain avait été banni par la Révolution culturelle. C’est dans ce contexte de répression que Yungchen reçut de sa grand-mère l’enseignement d’un art vocal religieux, qu’elle a emporté avec elle lors de sa dangereuse traversée de l’Himalaya, pour émigrer en Inde, où le Dalaï Lama encourage son talent.
"Quand j’ai quitté le Tibet, confie-t-elle, j’ai tout perdu, sauf ma voix..."
De fait, en renonçant à tout accompagnement pour ses concerts, elle se concentre sur cette voix nue qui, de façon bouleversante, évoque les traditionnels thèmes tibétains du pèlerinage spirituel ou de l’harmonie avec la nature.
Voir le site de Yungchen Lhamo
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